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Le constructeur français a dévoilé vendredi son nouvel organigramme sécurité, conséquence directe de la fausse affaire d’espionnage de l’hiver dernier.
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Renault a présenté vendredi ses nouveaux dirigeants en charge de la sécurité. Après la fausse affaire d’espionnage, qui a l’hiver dernier secoué le constructeur et coûté sa place au numéro 2 Patrick Pélata, le constructeur français a mené un travail de fond, après l’éviction des anciens responsables de la sécurité.
Dès le printemps, un nouveau numéro 2 avait été nommé, Carlos Tavares. Renault avait également créé un poste de Directeur délégué à la présidence du groupe, qui rassemble les secrétariats général et juridique. C’est Mouna Sepehri qui assure depuis le printemps cette fonction. En juillet, Renault avait réceptionné un rapport d’Alain Juillet, Alain Bauer et Eric Delbecque.
Directeur de la prévention et de la protection
Et les trois hommes ont tiré les conséquences de l’affaire d’espionnage. La sécurité a été rapprochée de Carlos Ghosn, avec la création de deux nouveaux postes, rattachés à Mouna Sepehri. Eric Le Grand devient Directeur de la prévention et de la protection du groupe Renault, Jean-Marc Berlioz, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, devient Inspecteur général de la direction, de la prévention et de la protection. Renault compte aussi mettre en place dans les prochains mois une direction de l’éthique. Le but de cette réorganisation: éviter de nouveaux dérapages, préjudiciables à l’image du groupe.
Photo: Carlos Ghosn, lors de sa visite de l'usine de Curitibia au Brésil au début du mois.
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