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Le hit-parade des prix Pour la quatrième édition de notre enquête, les surprises ne manquent pas. Sur les 197 modèles passés au crible, la tendance est à la baisse, mais tout le monde ne joue pas le jeu. L'argus pointe les bons et les mauvais élèves. L’achat d’une voiture peut être le fait d’un coup de coeur. C’est plus généralement le résultat d’un calcul financier, ou se mêlent prix d’achat, consommation de carburant, prime d’assurance... Hélas, le coût d’entretien est souvent le grand oublié de ces paramètres. À tort. Car le passage en atelier peut rimer avec mauvaise surprise. D’autant que le prix des pièces détachées représente près de la moitié du montant de la facture. L’entretien d’un véhicule, neuf ou d’occasion, est tout sauf facultatif et ce, non seulement afin d’en préserver la garantie, mais aussi son capital santé dans la perspective d’une bonne revente. Tarifs à la baisse Alors que nos enquêtes, publiées depuis 2008, mettaient en relief l’augmentation du prix des pièces détachées, la tendance semble s’inverser. Entre 2010 et 2011, nous avons constaté un ralentissement de la hausse, et, surprise, une baisse de 4% dans notre enquête de 2012. Dans ce bilan, les constructeurs ne sont, évidemment, pas tous logés à la même enseigne. Ainsi Ford, Volvo et Opel ont modifié leur politique tarifaire, et sortent des profondeurs de notre classement. Pointé du doigt pour ses prix, Opel a consenti à des efforts, notamment sur ses modèles récents tels l’Insignia, le Zafira Tourer (qui talonne le Renault Scénic),et, dans une moindre mesure, le Meriva. Autre bon exemple, le groupe Volkswagen. Si Skoda est toujours bien placé, Volkswagen, Seat et Audi améliorent leur rang. À titre d’exemple, Audi place ses A6 et A7 devant la Renault Latitude (ex-Samsung). Mais même au sein du groupe allemand, des différences subsistent. Ainsi, les prix des pièces d’Audi demeurent un ton au dessus, preuve que l’alliance ne profite pas à tous. Soulignons également que les constructeurs sont soucieux du coût de revient de leurs véhicules. Et ce, notamment en raison des ventes aux loueurs de longue durée pour lesquelles l’entretien influe directement sur le montant des loyers. Le réseau d’un constructeur vit de la réparation et de l’entretien. Une concurrence de plus en plus forte Mais le développement très rapide des offres agressives des centres auto (Midas, Speedy, Feu Vert...) a modifié la donne. Comment ? En commercialisant un forfait révision qui préserve la garantie du constructeur. Et ce à des tarifs inférieurs de 50 % à ceux proposés par le réseau ! Afin de résister, ces réseaux doivent aligner leurs prix sous peine de voir se désertifier leurs ateliers. Autre facteur qui oriente les prix à la baisse : Internet. Nombre de sites proposent en effet des pièces détachées à prix cassés exacerbant ainsi la concurrence entre les différents acteurs. Pourtant les constructeurs engrangent des marges confortables. D’autant que les pièces de remplacement ne sont pas toujours équivalentes à celles d’origine. Si le cahier des charges est respecté (matériau, caractéristiques techniques...), ils ne s’interdisent pas de faire fabriquer ces pièces par des fournisseurs autres que ceux de leurs pièces de première monte. Malgré les efforts déployés par certains, d’autres n’hésitent pas à choisir une politique tarifaire à la hausse à l’image du groupe Fiat. Hormis Alfa Romeo qui reste stable, les deux autres marques, Fiat et Lancia, régressent dans le classement. Constat similaire pour Honda, BMW et Mazda. Dacia fait toujours figure d’ovni. Tous ses modèles se trouvent en effet en tête de leur catégorie respective, se permettant même au passage de creuser l’écart par rapport à l’année passée ! Les Françaises doivent mieux faire Nos « chères » marques tricolores n’ont, quant à elles, aucune leçon à donner. Renault reste stable avec des tarifs généralement inférieurs à la moyenne. Néanmoins, l’Espace se paie le luxe de se retrouver en queue de classement alors qu’il est commercialisé depuis dix ans. Quant au groupe PSA, il doit mieux faire. Depuis notre enquête de 2011, Peugeot s’est rapproché de Citroën dans le milieu du classement. Enfin, il est bon d’avoir un portefeuille bien garni lorsque l’on est possesseur d’une Hyundai ou d’une Kia. Ainsi, la Cee’d, qui devrait bientôt être remplacée et fabriquée en Slovaquie, ferme la marche de sa catégorie. Sa garantie de sept ans n’y est sans doute pas étrangère. Mercedes et Chevrolet n’y vont pas non plus avec le dos de la cuillère. Si le premier ne concède que peu de remises, le second n’hésite pas à avancer des campagnes de promotion agressives tout au long de l’année. Mais un prix de vente attractif ne rime pas toujours avec un coût d’entretien bon marché ! Comment nous avons procédé Pour établir notre classement, nous avons sélectionné les voitures les plus récentes et les plus diffusées, sans omettre quelques modèles plus confidentiels. Certaines nouveautés n’y figurent pas (nouvelle BMW Série 3, Mazda CX-5, Hyundai i30…) les constructeurs n’ayant pas encore fixé le prix des pièces. Nous avons défini un panier qui couvre l’entretien courant. Les tarifs sont obtenus par le biais des constructeurs et d’un logiciel mis à jour régulièrement et utilisé par les experts d’assurance. Notre panier de pièces d’usure courantes Balais d’essuie-glace avant. Ampoule de code. Filtre à air. Filtre à huile. Filtre à carburant (hors citadines, sur certains modèles il est directement intégré à la pompe à carburant). Filtre d’habitacle. Kit d’embrayage. Courroie d’accessoire. Plaquettes de frein avant. Plaquettes de frein arrière (ou kit de frein pour les systèmes à tambour). Disques de frein AV et AR. Quatre amortisseurs. Silencieux d’échappement.

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http://www.largus.fr/actualite-automobile/pieces-detachees-le-hit-parade-des-prix-1480368.html

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