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A quelques semaines de la publication du second avis de l’Autorité de la Concurrence (ADLC) sur l’entretien et la réparation automobile, les membres de la plateforme Libère mon Auto, qui rassemble des automobilistes, des consommateurs, et des professionnels de l’automobile, dénoncent une « campagne d’intimidation et de mystification orchestrée par les constructeurs contre l’ADLC ». Ils ont décidé d’intervenir auprès du Conseil d’Etat et du gouvernement pour que la libéralisation des pièces détachées soit réalisée considérant que le monopole des constructeurs est une exception préjudiciable aux professionnels de la filière de l’après-vente automobile comme aux consommateurs
Monopole de fait
Les représentants des constructeurs et de leurs réseaux ont en effet introduit un recours devant le Conseil d’Etat contre son premier diagnostic soulignant les défaillances de la concurrence dans le marché de l’entretien et de la réparation automobile. Les membres de la plateforme Libère mon Auto rappellent « l’augmentation très forte du prix des pièces sous monopole et l’écart de prix avec les pièces alternatives » mis en évidence par des études et enquêtes. Ils considèrent que « l’exception française, qui maintient le monopole sur les pièces visibles destinées à la réparation n’est plus justifiée, ni juridiquement ni économiquement ni socialement».
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